Odeur de térébenthine

19/02/2015
Présentation
Par: Maria Palau, periodista cultural especialitzada en art.
Lieu: Salle des Actes
Horaire: 19:30
Traduction simultanée: Non
Odeur de térébenthine

Antoni Vives Fierro a fait de l’art sa forme de vie. Dans ces mémoires, il nous plonge dans ce qui fut une trajectoire féconde et créatrice de plus d’un demi-siècle, consacrée indéfectiblement à la peinture. Un périple intense aux débuts difficiles, mais extrêmement stimulant, à la recherche d’un langage propre. A la recherche d’une manière de comprendre la réalité et de l’exprimer de façon personnelle. Une lutte solitaire qui en début d’une carrière d’artiste n’est généralement pas récompensée ni comprise, a fortiori dans son cas qui a coïncidé avec une époque historique faite de silence et d’obscurité.

Vives Fierro, obstiné par nature, a persisté et a muri un des projets artistiques les plus solides et cohérents qui le fait rejoindre la liste des créateurs de référence de notre pays. Fidèle à une manière d’être et de faire du figuratif qui en a fait le paysagiste urbain par excellence. Plus que peindre la réalité, il a peint l’âme de la réalité. Plus que la représenter comme elle est, il nous l’a montrée telle que souvent nous ne sommes pas capables de la voir. La réalité des petites choses, des détails, des recoins, des atmosphères. La réalité au-delà du tangible et du visible.

Dans ce livre, Vives Fierro entremêle expériences et souvenirs. Sa lutte dans l’étude, son obstination pour faire connaître son œuvre, ses succès dans des galeries du monde entier. Ses voyages pour se nourrir d’expériences, sa foi dans les livres et la culture, sa faim insatiable de savoirs nouveaux. Sa relation passionnelle avec Barcelone, sa ville, la ville qui lui doit un des regards picturaux les plus authentiques, sincères et honnêtes. Son amour fut pour Cuba. Sa vie sociale intense, auréolée des volutes d’un bon havane. Et à tout moment, accompagné par sa famille : Emi, Claudia et Max.

Ce récit libre et vivant, décomplexé et parsemé d’ironie, ne commence pas par le début ni n’achève par la fin. On ouvre des tiroirs de la mémoire et on en ferme d’autres. C’est Vives Fierro qui en est le protagoniste mais ce livre est avant tout un grand hommage rendu à la peinture et à ceux qui savent l’apprécier. Les nombreux adeptes de son œuvre qui ont permis ce long parcours, défilent aux travers de ces pages parfumées de térébenthine.


Cycle: Odeur de térébenthine


Organisé par: Résidence des chercheurs CSIC – Généralité de Catalogne




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